Sile romantisme joue une part essentielle dans le répertoire du Ballet de l’Opéra de Paris (en 1972, Pierre Lacotte recrée La Sylphide de Filippo Taglioni), des créations ont lieu, côté français, avec Roland Petit et Maurice Béjart et, côté américain, avec George Balanchine (formé en Russie et fondateur du New York City Ballet) et Jerome Robbins. Ellese produira sur plusieurs grandes scènes en tant que danseuse étoile, avec le New York city Ballet ou le Ballet de l'Opéra de Zurich. Mais c'est sur petit écran, avec les cinq épisodes Etsa popularité ne cesse d’accroître puisque la maison Yves Saint Laurent vient d’annoncer que le danseur étoile du New York City Ballet va incarner son prochain parfum masculin, le Heureuxpapa d’un petit garçon né en juin dernier, l’étoile française du prestigieux New York City Ballet s’affiche désormais partout en AuNew York State Theater, en 1975, lors du Festival Ravel, Violette Verdy et Jean‑Pierre Bonnefous, son partenaire français au New York City Ballet, créent Sonatine, une apothéose dans la carrière de la danseuse. De retour en France, elle prend la direction de la Danse de l’Opéra de Paris pendant trois ans, de 1977 à 1980, ne cessant de transmettre, avec kGMk. 9 min de lecture Alors que les relations franco-américaines étaient encore tendues, le film est venu rappeler l'excellence de notre pays dans le domaine culinaire. Guy Savoy pose dans son restaurant de l'hôtel de la Monnaie à Paris. Crédit ERIC FEFERBERG / AFP Guy Savoy pourquoi il a participé au film "Ratatouille" 000221 René-Jo Querry, Jérôme Cassou, Richard Cocciante et Guy Savoy dans "À La Bonne Heure !" du jeudi 11 Juin 2020 003739 Sorti en 2007, le long métrage Ratatouille fut l'un des plus grands triomphes des studios Pixar Toy Story, Wall-E, Là-haut..., aussi bien en terme d'entrées que de réception critique. Mais comment "notre" grand chef cuisinier Guy Savoy s'est-il retrouvé dans l'aventure ? C'est ce qu'il a expliqué ce matin à Stéphane Bern, qui consacrait une de ses énigmes au célèbre film d'animation "Il se trouve que Brad Bird, le réalisateur, est un fidèle de mon restaurant et qu'il m'avait demandé, deux ou trois ans avant la sortie du film, s'il pouvait envoyer une équipe avec une petite caméra pour prendre des images dans la cuisine" s'est remémoré le chef trois étoiles. Et c'est ainsi que Guy Savoy s'est vu proposer de doubler l'un des personnages de l'histoire, le critique culinaire qui veut goûter autre chose que le fameux foie gras du chef. Un exercice pas facile si l'on en croit M. Savoy "J'ai passé toute une matinée à dire deux phrases ! Je peux vous dire que j'ai dû faire à peu près cinquante prises parce que c'est pas évident d'avoir le ton juste, de bien placer les syllabes !" Si, à l'origine, l'idée d'un rat dans une grande cuisine française ne lui plaisait guère, Guy Savoy est aujourd'hui heureux d'avoir participé à ce film qui a grandement contribué à promouvoir l'image de la gastronomie française. Celui qui dirige quatre établissements à Paris et qui fut élu récemment "meilleur chef du monde" en profite également pour appeler le gouvernement à autoriser "au plus vite" la réouverture des restaurants "Il commence à y avoir des cas désespérés, non seulement parmi les restaurateurs mais aussi chez nos fournisseurs !" Un extrait de l'émission que nous vous proposons de réécouter en haut de cette page... Les énigmes d'"À la bonne heure !"Retrouvez Stéphane Bern dans A La Bonne Heure ! du lundi au vendredi de 11h30 à 12h30 pour une nouvelle émission. Pour vous divertir, toutes générations confondues, l'équipe vous propose un jeu qui vous emmène à la découverte des rois de France aux rois de la pop, des trésors de nos villages aux trésors de la chanson, du cinéma, de tout ce qui fait le patrimoine... et à la rencontre aussi de personnalités qui font l’actualité culturelle ! Quatre nouvelles énigmes au menu ce matin, et quatre chances de gagner des cadeaux ! Pour cela, dès que vous croyez avoir la bonne réponse à l’énigme, envoyez un SMS au 64900 0,35cts/sms avec le mot clé "JEU" suivi de votre réponse. Vous passerez peut-être à l’antenne afin de la vérifier avec Stéphane Bern et un invité qualifié. Énigme n°1"C’est d’un fait divers que je vais vous parler, un assassinat et plus que cela qui s’est déroulé il y a exactement 39 ans, le 11 juin 1981 à Paris dans un petit studio de la rue criminel est japonais. Il s’appelle Issei Sagawa. Il est arrivé à Paris un an plus tôt. Il faut dire qu’en 1980, au Japon, il s’était introduit dans la chambre d’une étudiante allemande et qu’il avait heureusement été arrêté au moment où il s’apprêtait à la tuer. Comme son père était un patron influent, il était parvenu à lui éviter une condamnation. Mais il l’avait envoyé en France pour qu’il se calme un voici dont inscrit en doctorat de littérature comparée. Il est frêle, il pèse à peine 35 kilos, ne mesure pas plus d’1,52 m sa tête est disproportionnée par rapport à son corps. Bref, il est disgracieux et il le sait. Il dira plus tard de sa victime pour une personne aussi repoussante que moi, elle était hors d’atteinte » …La victime est d’origine hollandaise. Elle s’appelle Renée Hartevelt. Bien qu’elle ait déjà repoussé ses avances, ce jour-là, elle a accepté de le rejoindre dans son studio du 16ème arrondissement. Elle étudie, elle aussi, la littérature comparée, et elle a accepté de lui donner un coup de main pour enregistrer des poèmes expressionnistes enregistre d’ailleurs la voix de René sur un magnétophone et on l’entend dire un poème de Johannes pendant qu’elle enregistre, il arrive dans son dos, armé d’une 22 Long rifle et tire. Elle meurt sur le alors une séance de dépeçage. D’abord les fesses, mais le couteau qu’utilise Issei n’est pas assez aiguisé. Qu’à cela ne tienne, il va en acheter un autre au supermarché du coin. Et il dépèce, et il goûte et il mange. Et au cours des deux jours suivants, tout en continuant à dépecer, il se fait cuire de bons petits plats … tout en prenant des photos de son n’a pas tout mangé, Issei. Il reste même deux grosses valises dans lesquelles il range les os et tous les bas morceaux de Renée. Et une fois les valises pleines, il appelle un taxi, direction le Bois de Boulogne. Il projette de les jeter dans le taxi trouve les valises bien lourdes. Il se demande ce que ce japonais va faire avec elles au Bois, mais il le conduit. Chance, Issei trouve un caddy pour y placer son lourd bagage. Et bizarrement, il s’éloigne de son fardeau. Un couple qui passe par là voit du liquide sortir des valises. L’homme interpelle Issei les valises lui appartiennent-elles ? Plutôt que de répondre, le japonais prend peur et s’ couple découvre le contenu macabre des valises prévient la police. Celle-ci lance un appel à témoin auquel participe le chauffeur de taxi. Deux jours plus tard, Sagawa est arrêté devant chez psychiatres concluront à son irresponsabilité pénale. Il sera donc interné puis libéré et retournera au Japon où il sera, pendant quelques années, traité comme une véritable star. Il participera notamment à une curieuse campagne de publicité. Mais une publicité pour quoi ? Tel est la question de mon énigme…"Réponse Une publicité pour un restaurant de viande. Au téléphone L'ancien commissaire de police René-Georges Querry, auteur de De Mesrine à DSK les vérités d'un grand flic Éditions Jean-Claude Gawsevitch. Sagawa sous bonne escorte en juin 1981 Crédit Énigme n°2"Comme cela arrive parfois, la personnalité dont j’aimerais vous faire deviner le nom possède ce qu’on appelle un aptonyme. Un aptonyme c’est un nom qui s’apparente bien à ce qu’on fait. Un nom prédestiné à exercer son métier. Il y a par exemple un footballeur qui s’appelle Jérôme Pied. Un cycliste Marco Velo. Un plongeur Pierre Plouffe. Il y a paraît-il un urologue canadien qui s’appelle Joao Pippi Salle. Marc Dufumier est un agronome célèbre. Maxime Pinard est évidemment viticulteur et Yannick Soulié, podologue. J’arrête là et je reviens à ce personnage qui est né à Bordeaux, mais qui a passé une partie de son enfance au Sénégal, à Dakar auprès d’un père prof de sport et d’une mère prof de danse. Et vous allez le voir, une fois de plus se vérifie ce proverbe qui veut que les chats ne font pas des mère, en effet, lui apprend la danse de façon assez intuitive et ça n’est qu’à son retour en France qu’il prendra plus sérieusement des cours de danse classique d’abord, de danse contemporaine 13 ans il effectue un stage à la School american ballet de New York école qu’il intègre à l’âge de 16 ans. Huit ans plus tard, il sera nommé danseur étoile du New York City en continuant à danser les premiers rôles, il démarre une carrière de chorégraphe avec la création de Triple Duet à Londres, qui marque le début de ses créations pour de grandes troupes telles que celles du Ballet de l'Opéra de Paris, de l'American Ballet Theatre, et du Ballet Mariinsky. Et en 2011, il décide en 2011 de quitter le New York City Ballet pour fonder à Los Angeles sa propre compagnie, intitulée LA Dance de th »âtre, le 24 janvier 2013, le voici nommé à la tête du ballet de l’Opéra de Paris. Mais il se heurte aux rigidités administratives ou politiques de cette institution. Comme il le dira Je n’avais pas accepté la mission pour le prestige mais pour apporter un changement sur le long terme. J’ai compris que les choses ne pourraient pas se passer comme je l’envisageais. Il fallait donc je parte, je sentais que ma place n’était pas à l’Opéra». Il quittera donc l’opéra sur le bout des chaussons après trois ans de mandat … Dernière précisions en 2009 il est conseiller et acteur dans le film Black Swann, et c’est là qu’il fera la connaissance d’une certaine Natalie Portman. Qui est ce grand danseur et chorégraphe au nom prédestiné ?"Réponse Benjamin Millepied. Au téléphone Jérôme Cassou, cinéaste, réalisateur de films et de documentaires sur la danse. Benjamin Millepied, le 20 octobre 2018 Crédit Lisa O'Connor / AFP Énigme n°3"J’ai envie de vous parler d’un monument. Pas tout à fait d’un monument historique, ni littéraire, même si ce monument a pour titre le nom d’un monument historique, et quel monument et le nom d’un monument littéraire, et quel monument … Vous allez comprendreAllez, je vous le dis il s’agit d’un spectacle que plus de 11 millions de personnes ont vu de par le en faites peut-être partie, alors envoyez-moi un sms dès que vous avez trouvé, code jeu + votre réponse au 64900 0,35 centimes le smsLes fondations du projet voient le jour en 1993. À la recherche du héros de sa prochaine œuvre, un parolier s’intéresse aux personnages cherche, il cherche, mais ne trouve pas. Il est sur le point d’abandonner quand tout à coup, il tombe sur son héros. C’est le coup de foudre, il s’empresse de relire l’œuvre littéraire qu’il vient de trouver et note au fil des pages des dizaines projet est d’envergure, il fait appel à un compositeur pour l’aider. Un compositeur qui sera dans un premier temps un peu sceptique. C’est vrai que le mur à franchir est très haut. Ecoutez ce que disait ce compositeur J’avais très peur de m’attaquer à un tel monument de la littérature française ».Le projet que souhaitent monter cet auteur et ce compositeur est musical. Les deux hommes se mettent alors au travail, leur collaboration se passe à merveille et chacune de leur rencontre est magique, les textes et les musiques se mariant à la perfection. Tout se passe tellement bien qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils ont créé une œuvre de près de trois heures. Il faudra encore travailler 5 années sur le projet pour parvenir à sa version définitive. Le spectacle verra donc le jour en 1998. Un lieu est retenu, c’est le Palais des Congres et une date est fixée, se sera le 16 septembre. La suite, c’est un véritable succès et le casting composé d’artistes pour la plupart inconnus mais qui ne le resteront pas. Et c’est aujourd’hui, un phonème mondial, pour preuve, c’est plus 4 300 représentations ont été jouées en 22 ans dans 20 pays et le spectacle est adapté en 8 langues anglais, italien, espagnol, russe, coréen, flamand, polonais et chinois. Vous avez trouvé la réponse à mon énigme ? De quelle comédie musicale vous ai-je parlé ?"La réponse Notre-Dame de Paris. Au téléphone Richard Cocciante. Les chanteurs Patrick Fiori, Garou et Daniel Lavoie, anciens membres de la comédie musicale Notre-Dame de Paris, le 16 décembre 2011 à Bercy Crédit FRANCOIS GUILLOT / AFP Énigme n°4"Pour cette énigme, j'aimerais vous parler de gastronomie, vous vous apprêtez peut-être à passer à table, ça tombe gastronomie est évidemment l’un des symboles de la France, Et nombreux sont les films qui abordent le sujet. Je voudrais vous faire deviner l'un d'eux qui a pour héros un chef pas comme les autres. Dès que vous pensez avoir trouvé le titre du film vous me l'envoyer avec le mot clé JEU + votre réponse au 64900 35 centimes le smsLe héros de ce film a pour rêve de devenir un grand chef français. Mais ce n'est pas une chose aisée pour lui, il doit faire face à l'opposition de sa famille et à l'hostilité des est prêt à tout pour vivre sa passion de la cuisine et le fait d'habiter à côté d'un restaurant ultra coté, va lui en donner l'occasion ! Il va dans un premier temps observer la cuisine du restaurant par l'une des fenêtres ! Car on ne rentre pas comme ça dans une cuisine, il y a des règles strictes. Et puis vous me l'accorderez, la cuisine ça se transmet aussi en regardant les autres faire !Mais bon notre héros, lui, veut mettre la main à la pâte et grand rêveur qu'il est, il ne peut s'empêcher de s'imaginer cuisiner de bons petits vous ai parlé du héros, mais je ne vous ai pas encore parlé des décors. Car oui, dans ce film, les décors sont tout aussi importants, ils nous plongent dans la ville de Paris. L'équipe du film, a fait le voyage pour obtenir plus de réalisme, elle s'est notamment rendue dans les égouts, sur les bords du canal Saint-Martin, en haut de la Samaritaine ou encore au sommet de la Tour Eiffel. Côte box-office, le film fait d'excellentes recettes, c’était le moins qu’on puisse attendre d’un film sur la cuisine …En France presque 8 millions de personnes l'on vu et en 2008, un an après sa sortie, il obtient un Golden Globes, et même un à votre héros, que l’on avait laissé au bord d’une fenêtre. La tentation est trop grande, il ne peut résister à rentrer dans l’établissement. Je ne vous en dis pas plus, j’arrête de vous faire mijoter, même si bien mijoter le nom de mon film et aussi celui d’un plat que l’on apprécie surtout vers les beaux jours ... Vous avez trouvé la réponse à mon énigme ? De quel film s’agit-il ?" Réponse Ratatouille 2007.Au téléphone Le célèbre chef cuisinier Guy Savoy, qui prêta sa voix à l'un des personnages du film. Ratatouille Crédit Disney L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info Afin d'assurer la sécurité et la qualité de ce site, nous vous demandons de vous identifier pour laisser vos commentaires. Cette inscription sera valable sur le site Signaler un commentaire Choisir le type d'abus Facultatif Compléter votre signalement Facultatif Cet article date de plus de huit ans. C'est un évènement. Culturebox vous propose l'intégralité du ballet "Daphnis et Chloé" créé par Benjamin Millepied sur l'oeuvre de Ravel. Un ballet lumineux qui a conquis le public de l'Opéra Bastille. En guise de luxueuse mise en bouche nous vous proposons également "Le Palais de Cristal" de Balanchine. A déguster sans modération à partir de jeudi 5 juin sur Culturebox ! Article rédigé par France Télévisions Rédaction Culture Publié le 05/06/2014 1027 Mis à jour le 06/12/2016 0630 Temps de lecture 1 min. L'histoire Deux jeunes gens, deux jeunes bergers découvrent le sentiment amoureux mais sont bientôt confrontés aux rivalités extérieures. Avec sa danse fluide, d’une grande légèreté, Millepied réussit à rendre cette atmosphère de rêve propre à la musique de Ravel toute en jaillissement, qui évoque la nature, l’allégresse et l’amour. Un ballet qui coule comme un ruisseau et dégage une énergie folle. Aux mouvements d’ensemble aériens, succèdent les pas de deux amoureux et sensuels, souvent élaborés en répétition contrairement aux ensembles très écrits et merveilleusement interprétés par Hervé Moreau et Aurélie Dupont. Le chorégraphe, ancien danseur étoile du New York City Ballet, dose savamment modernité et classicisme, préservant des passages sur pointes. Dans cette première série d'extraits mouvement d'ensemble avec Eleonora Abbagnato, Hervé Moreau et Aurélie Dupont, Alesio Carbone Dans cette deuxième série d'extraits Alessio Carbone et Eleonora Abbagnato, groupe avec François Alu qui incarne le chef des brigands, François Alu et Aurélie Dupont, Aurélie Dupont et Hervé Moreau, scène de groupe Le ballet qui complète cette belle soirée de danse est d’un autre grand compositeur français, Bizet, et d’un autre chorégraphe du New York City Ballet, le légendaire Georges Balanchine. "La Palais de cristal" est sa première création pour le Ballet de l’Opéra 1947. C'est une œuvre très virtuose pour cinquante danseurs pour laquelle Christian Lacroix a créé de somptueux costumes, aux couleurs inspirées des pierres précieuses, dans la continuité de ceux qu’il avait éxécuté pour Joyaux », autre ballet de Balanchine. Parmi de superbes moments de cette oeuvre, pas très connue de la maturité de Balanchine, on retiendra les pas de deux ciselés du couple vedette et parmi les solistes, Amandine Albisson, nommée étoile début mars. "Daphnis et Chloé" de Benjamin Millepied et "Le Palais de Cristal" de Georges Balanchine sur Culturebox à partir de jeudi 5 juin, 20h. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Danse En vente le 20 septembre 2022 à 12h00 Ballet George Balanchine Palais Garnier - du 06 février au 10 mars 2023 Béatrice Matet / VOZ'Image Voir toutes les informations George Balanchine Palais Garnier - du 06 février au 10 mars 2023 En vente le 20 septembre 2022 à 12h00 Réserver En vente le 20 septembre 2022 à 12h00 Réserver Palais Garnier - du 06 février au 10 mars 2023 Avant-première Jeunes 6 fév. 2023Première 8 fév. 2023 À propos En quelques mots Créé en 1970 par le New York City Ballet, Who Cares? est composé d’une suite de danses sur des chansons de George Gershwin – parmi lesquels le standard » qui a donné son nom à la pièce et I Got Rythm – avec pour toile de fond la silhouette des gratte‑ciels de Manhattan. Who Cares? réunit un ensemble de danseurs en diverses formations auxquels succèdent quatre solistes. Tous se retrouvent dans un final enjoué dans lequel Balanchine souhaitait montrer le génie musical et la beauté mélodique de Gershwin à travers la danse classique. Hommage à la grandeur de la Russie impériale, Ballet impérial a été créé en 1941 par l’American Ballet Caravan sur le Concerto pour piano n° 2 de Tchaïkovski. George Balanchine y célèbre de manière brillante la virtuosité technique du ballet académique dans le style de Petipa – son père spirituel » – et de la grande tradition de Saint‑Pétersbourg. Ouverture Première partie 40 mn Entracte 20 mn Deuxième partie 45 mn Fin Ballet Impérial Musique Piotr Ilyitch Tchaïkovski - 1840‑1893 Direction musicale Mikhaïl Agrest Who Cares ? Musique George Gershwin - 1898‑1937 Direction musicale Mikhaïl Agrest Adaptation et orchestration Hersy Kay Représentations Disponible en audiodescription Avantages tarifaires Plus de places disponibles actuellement Disponible en audiodescription Avantages tarifaires Plus de places disponibles actuellement Retrouver ce spectacle dans les abonnements suivants Abonnement libre -5 à -10% À partir de 4 spectacles au choix parmi toute la programmation Réductions sur une sélection de catégories En savoir plus Abonnement jeunes 66 € 2 opéras + 1 ballet Réservés aux spectateurs de moins de 28 ans en 4e catégorie au Palais Garnier et en 7e ou 8e catégorie à l’Opéra Bastille. En savoir plus Abonnement jeunes 57 € 2 ballets + 1 opéra Réservés aux spectateurs de moins de 28 ans en 4e catégorie au Palais Garnier et en 7e ou 8e catégorie à l’Opéra Bastille. En savoir plus Abonnement jeunes 48 € 3 ballets à 48 € Réservés aux spectateurs de moins de 28 ans en 4e catégorie au Palais Garnier et en 7 e ou 8e catégorie à l’Opéra Bastille. En savoir plus Mécènes et partenaires Avec le soutien de The American Friends of the Paris Opera & Ballet Mécène du rayonnement de l'Opéra Partenaire de la Soirée Balanchine En 2001, le finlandais Mikko Nissinen prenait la direction artistique du Boston Ballet, une compagnie classique fondée en 1963. Une troupe prestigieuse, mais qui s'était un peu endormie sur ses acquis et un répertoire limité. L'ancien Danseur Étoile du San Francisco Ballet, formé à Helsinki à l'école du Ballet national de Finlande, a hissé le niveau de la troupe forte de 69 danseuses et danseurs et enrichi le répertoire, faisant du Boston Ballet l'une des toutes premières compagnies américaines. Il a également remonté quelques productions pour la troupe, dont Le Lac des Cygnes repris au mois de mai. L'occasion d'une rencontre avec ce directeur ambitieux, très attentif au tournant que prend la danse aux États-Unis. Mikko Nissinen Il y a maintenant 15 ans que vous dirigez le Boston Ballet. C'est un laps de temps suffisant pour faire un bilan d'étape. Quel regard portez-vous sur ces 15 dernières années ? Quand je suis arrivé ici il y a 15 ans, le conseil de direction avait le sentiment que le Boston Ballet avait besoin de changement. Mais quand j’ai demandé "Quelles sortes de changements ?", ils n’ont pas été vraiment clairs. Dans un tel contexte, il m’a semblé qu’il était nécessaire d’être en phase avec la compagnie et de diversifier le répertoire en l’élargissant. Et l’idée que le public du Boston Ballet n’aimait que les grands classiques devait être questionnée. J’ai aussi proposé que nous ayons une perspective internationale. De ne pas se contenter de l’héritage russe qui était omniprésent mais revenir à George Balanchine qui a eu une influence considérable sur cette compagnie. Créer aussi de nouvelles pièces néo-classiques et ne jamais oublier la danse contemporaine . Il vous semblait important d’introduire des chorégraphes contemporains au répertoire du Boston Ballet ? Absolument. Parce que Le Lac des Cygnes fut un ballet révolutionnaire à sa création, c’était une œuvre d’avant-garde à l’époque et il nous revient de montrer ce qu'est l’avant-garde d’aujourd’hui. J’ai eu la chance extrême dans ma carrière de danseur de pouvoir interpréter tout ce répertoire et je voulais en arrivant à Boston faire partager mon expérience. Les gens ont dû penser au début que c’était un peu fou, mais petit à petit, nous avons montré des œuvres contemporaines. Et pas dans l’état d’esprit d’être une compagnie classique qui danse des œuvres contemporaines, mais de danser ce répertoire contemporain au plus haut niveau. Aujourd’hui nous avons des pièces de Jiří Kylián au répertoire et le public est totalement ouvert à ce type de chorégraphie. De ce point de vue, je crois que j’ai réussi ma mission. Mikko Nissinen en répétition pour Le Lac des Cygnes avec Katleen Breen Combes Vous avez donc dû façonner la compagnie pour qu’elle soit capable de danser des styles aussi différents ? Oui, et ce ne fut pas toujours facile car vous exigez énormément de la compagnie. Vous leur demandez d’être à la fois un artiste du New York City Ballet, du Royal Ballet ou du Nederlands Dans Theater la compagnie dont Jiří Kylián fut directeur artistique. Bien sur, tout le monde n’excelle pas dans tous les styles mais je suis moi-même étonné de voir que beaucoup de danseuses et de danseurs sont capables de danser ces trois types de répertoire. Comment la compagnie a-t-elle réagi quand vous avez fait ces propositions ? J’ai toujours été très sérieux et déterminé sur mon projet artistique élargir le répertoire, améliorer le niveau général des travailler sans cesse la musicalité, se placer dans un contexte international et se considérer comme appartenant à une équipe. C’était ma feuille de route. étaient enthousiastes, d’autres moins. Ceux-celles-là ont préféré partir et j’ai donc engagé de nouvelles danseuses et de nouveaux danseurs. C’est un processus qui a pris trois ans et à partir de là, nous n’avons pas cessé de construire et de reconstruire. Et le public ? Quelle a été sa réaction ? J’avais un avantage j’étais le nouveau venu d’ailleurs. Certains ont dû penser "Il est naïf ". Mon tout premier programme réunissait William Forsythe, Mark Morris et Jorma Elo chorégraphe en résidence et je voulais juste envoyer ce message au public "Voilà différents types de danse que je vais mettre sur scène". J’ai un profond respect pour les ballets académiques et je suis très fier des productions qui sont à notre répertoire. Mais ce n’est pas un musée ou une église, c’est un théâtre vivant pour aujourd’hui. C’est avant tout cela qui m’intéresse faire du spectacle vivant pour le public d’aujourd’hui. Le Lac des Cygnes de Mikko Nissinen Comment définiriez-vous la spécificité du Boston Ballet dans le panorama des compagnies américaines ? Je dirais encore une fois que, cet attachement à ces trois types de répertoire dont je viens de parler, est notre signature. Et puis nous ne sommes pas liés par héritage à une voix chorégraphique que nous devrions représenter. Nous n’avons pas comme d’autres la responsabilité de défendre George Balanchine, Jerome Robbins, Frederick Ashton, Kenneth McMillan ou John Cranko. Et c’est une forme de liberté de ne pas avoir à prendre en compte un héritage. Cela se traduit dans la diversité de nos productions. Nous avons le Don Quichotte de Rudolf Noureev, La Sylphide dans une production danoise d'après Bournonville, les trois chefs d’œuvres de John Cranko Onéguine, Roméo et Juliette, La Mégère Apprivoisée. C’est cela aussi notre spécificité. chorégraphes avez-vous envie de faire venir à Boston ? Je suis impatient de montrer ici à Boston le nouveau ballet de Wayne McGregor Obsidian Tear que nous coproduisons avec le Royal Ballet sur une partition d’Esa-Pekka Salonen, mon compatriote. La première sera en mai prochain à Londres. Nous avions montré Chroma et cela avait été un grand succès. J’ai aussi des projets pour des pièces de Justin Peck, Liam Scarlett, Crystal Pite. J’aimerais aussi faire venir Akram Khan et puis élargir notre collaboration avec Christopher Wheeldon. Tous ces noms sont des évidences. Mais il y a tous ceux et celles qu’il faut découvrir car c’est aussi notre mission de mettre sur scène les talents de demain. J’ai toujours cette démarche et je continue de voyager pour aller voir de nouveaux ballets et de nouveaux chorégraphes. J’ai la conviction que cela fait partie de ma mission. Il y a deux ans, vous avez décidé de produire votre version du Lac Des Cygnes. Ce fut un énorme succès et le ballet revient sur la scène de l’opéra de Boston. Pourquoi avez-vous voulu faire votre Lac des Cygnes ? J’ai toujours eu un lien très fort avec Le Lac Des Cygnes. J’avais fait une première version ici mais j’avais dû, pour des raisons budgétaires, utiliser les costumes et les décors qui existaient. J’ai donc voulu le refaire quand j’ai eu les moyens de le montrer tel que je le voulais. C’est un ballet que je connais par cœur dans tous les détails. Je ne voulais pas modifier la chorégraphie mais respecter ce qui a été créé par Marius Petipa et Lev Ivanov, et puis ajourer ma touche personnelle dans le déroulement du drame tel que je le vois. Je voulais rester au plus près de la trame dramatique du ballet, en exprimer l’essence. C’était cela mon projet et j’ai eu de la chance car la réaction du public a été très positive, comme elle l’avait été lorsque j’ai monté Casse-Noisette. Anais Chalendard et Paulo Arrais - Le Lac des Cygnes de Mikko Nissinen Vous avez été Danseur Étoile de nombreuses années avant de prendre la direction artistique du Boston Ballet. Vous êtes européen mais vous travaillez aux États Unis. Vous êtes bien placé pour juger de l’état de santé de cet art fragile qu’est le ballet. Quel est votre diagnostic ? Nous vivons aujourd’hui une période décisive car ce qui est en jeu, c’est de savoir dans quelle direction nous allons aller. Il y a aujourd’hui de nombreux talents, des chorégraphes prometteurs et des compagnies qui font un travail formidable. Mais il y aussi une forte tentation populiste et parfois, je croise des gens qui ne croient pas dans le pouvoir de la danse comme un art en mouvement, capable d’évoluer et de se transformer. On voit aussi de plus en plus de productions très "Dysney" ou "Broadway". Je crois que c’est un piège. Ce serait un cauchemar que le vocabulaire classique ne subsiste que dans des "Broadway musicals". C’est un danger. Aux États Unis, il n’y a pas d’investissement de l’État dans la culture. Pour nous par exemple, c’est 0,2% de notre budget et la vente de tickets est loin de couvrir les coûts de la compagnie. Donc nous dépendons des donateurs individuels et des sponsors d’entreprise. Il faut les convaincre de s’engager pour l’art. Je ne suis pas pessimiste mais je suis tout de même un peu inquiet pour l’avenir car j’ai vu des compagnies prendre un tournant très commercial et ne pas y survivre. Il faut coûte que coûte persister à encourager la création et la nouveauté, quitte à prendre des risques. Mais c'est la seule voie qui sera payante et permettra au ballet de se perpétuer comme art. Reprise du Lac des Cygnes de Mikko Nissinen du 29 avril au 26 mai au Boston Opera House. A l'occasion de la sortie très remarquée de Black Swan, GQ revient sur les meilleurs danseurs du XXème siècle. Fred AstaireFred Astaire, de son vrai nom Frederick Austerlitz, connut la célébrité dans les années 30, d'abord à Broadway puis ensuite au cinéma. Il débuta sa carrière avec sa soeur, Adèle, mais c'est avec sa partenaire Ginger Rogers qu'ils se hissèrent au rang de couple danseur mythique, souvent en haut des / AbacapressA l'occasion de la sortie très remarquée de Black Swan, GQ revient sur les meilleurs danseurs du XXème / AbacapressA l'occasion de la sortie très remarquée de Black Swan, GQ revient sur les meilleurs danseurs du XXème siècle. Fred AstaireFred Astaire, de son vrai nom Frederick Austerlitz, connut la célébrité dans les années 30, d'abord à Broadway puis ensuite au cinéma. Il débuta sa carrière avec sa soeur, Adèle, mais c'est avec sa partenaire Ginger Rogers qu'ils se hissèrent au rang de couple danseur mythique, souvent en haut des MillepiedBenjamin Millepied porte bien son nom. Ce danseur qui cartonne est au coeur de l'actualité à part être le fiancé bientôt papa de Natalie Portman, qu'il a rencontré sur le tournage de Black Swan, c'est aussi un des danseurs phare du New York City Ballet. Il a aussi dansé pour les plus grands metteurs en scène contemporains, dont Angelin JayetBoris CharmatzCe jeune savoyard est considéré comme l'un des chefs de file de la nouvelle vague française de danse contemporaine, et du mouvement de la non-danse, né dans les années 1990. Nommé à la direction du Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne en 2008, il a aussi créé le projet Edna, qui mêle danse et création scénique William / AbacaElvis PresleyLa légende veut que c'est à cause de ses déhanchés dégénérés qu'on a inventé le plan dit "américain", qui cadre de la tête à la ceinture, pour diffuser ses concerts à la télé. Le King mettait la fièvre avec sa voix de velours, certes, mais aussi grâce à son swing zouk-rock JacksonSi Michael bluffait déjà les foules à l'époque des Jackson 5 avec son incroyable énergie sur scène, c'est quand même avec le pas nommé "moonwalk" qu'il a accedé au rang de dieu de la danse. Si le moonwalk est emprunté au Mime Marceau, le second geste qui a fait la renommée du King of Pop, la main bien crispée à l'entrejambe, semble être cette fois une création tout à fait Musto / AbacaPrincePrince est petit, mais il bouge bien. C'est d'ailleurs comme ça qu'il a acquis sa solide réputation de sex-symbol. Tout est dans le bassin, encore une faith / AbacaJustin TimberlakeInspiré du breakdance, du hip-hop et de ses lointaines chorégraphies saccadées qu'il faisait quand il était membre du boysband N'Sync, Justin a réussi à convaincre la terre entière qu'il avait un don pour la danse. Si, c'est / AbacaJohn TravoltaActeur à la formation complète, Travolta a donc fait de la danse et du chant quand il était petit. C'est surtout trois films, et pas des moindres, qui marqueront à jamais les mouvements du grand John encore un déhanché interdit dans Grease, une pression pour un concours de discothèque de dingue dans Saturday Night Fever attention les Bee Gees, et enfin une chorégraphie parfaitement interprétée avec flegme et brio dans Pulp Fiction. Du grand cinéma, on vous AileyLe plus grand danseur et chorégraphe afro-américain. Alvin Ailey fonde en 1958 sa propre compagnie de danse, insatisfait des techniques de la danse jazz. Il créa presque 80 ballets tout au long de sa vie avec la Alvin Ailey American Dance Theater, qui devint l'une des compagnies les plus réputées de New CervantesMikhaïl BaryshnikovLe vieil amant de Carrie dans la dernière saison de Sex & The City est bon acteur, mais avant tout c'est un excellent danseur. Ne dépassant pas en taille une ballerine sur les pointes, il était cantonné en URSS à des seconds rôles. Il quitte alors sa Russie natale pour retrouver les chorégraphes d'avant-garde de l'Ouest et devient danseur principal du New York City Ballet en 1978. C'est le début du grand triomphe. Aujourd'hui, il a une académie à son nom, le Baryshnikov Art Center de New DeniauKader BelarbiOriginaire de Grenoble d'un père algérien et d'une mère française, il devient premier danseur de l'Opéra de Paris en 1989. Il quitte la scène à 46 ans, en SwayzeDans la même veine des acteurs hollywoodiens pluridisciplinaires, Patrick sait danser, jouer, chanter... Mais surtout danser. Depuis le succès de son rôle de bad boy qui danse collé-serré dans Dirty Dancing, on a tous une part brute de Patrick Swayze en ForsytheAprès avoir été de nombreuses années le directeur artistique du Ballet de Francfort, il est le directeur de The Forsythe Company. Considéré comme le chorégraphe le plus européen des Américains », Forsythe a fait une centaine de créations, dont plusieurs commandées par des compagnies internationales prestigieuses, comme l'Opéra National de Paris ou le San Francisco KellyGrande personnalité de la comédie musicale, comme Fred Astaire, Gene Kelly chanta et dansa sous la pluie comme ShechterLe chorégraphe israélien Hofesh Shechter met en scène une danse viscérale et électrique. Avec de la musique forte et rugueuse, entre le heavy métal et la mélodie orientale et classique, ses créations sont surprenantes. Et BrownLe King of Soul était une bête de scène il chantait Sex Machine et pensait "sex machine" avec chaque parcelle de son corps. Grands écarts, danse lascive avec le micro, ondulations créatives, tout était bon pour attirer l' DeniauNicolas LericheNé en 72, Nicolas Leriche a débuté à l'Opéra de Paris. Sous la direction de Rudolf Noureev, il interprête Mercutio puis Roméo dans Roméo et Juliette. Il est nommé danseur étoile par Patrick Dupond en 1993, après avoir interprété le rôle du prince dans Giselle, où il montre sa puissance de saut impressionnant. Depuis, ce rôle lui colle à la peau... Ce qui ne l'empêche pas de danser pour les plus grands Lindquist / Harvard Theater Coll. / AbacaRudolf NoureevGrand danseur étoile d'origine russe, Noureev a su remettre le répertoire baroque à la mode, dans les années 50. Directeur de la Danse à l’Opéra de Paris, Chevalier de la légion d'honneur, réputé pour sa grâce et sa technique parfaite, il est considéré comme l'un des plus grands danseurs classique du XXème siècle. Et son physique avantageux ne lui a pas fait d'ombre non plus...Constance GuissetAngelin PreljocajPreljocaj a fondé sa compagnie en 1985, où, imprégné par l'opéra classique, il monte des ballets cependant résolument modernes. Aujourd'hui très en vogue, sa danse qui mêle lyrisme, sensualité et mouvements contemporains est très appréciée. Son dernier grand succès en date est son Blanche-Neige, produit en 2008, avec des costumes de Jean-Paul WalkenChristopher Walken est un acteur extraordinaire. Mais depuis le clip de Fat Boy Slim, Weapon of Choice, on s'est rappelé de son passé d'acteur de comédie musicale. Qui est brillant.

étoile française du new york city ballet