Ilest fort possible que vous ayez à choisir votre maitresse. Tout ce que je vous souhaite c'est d'être le plus heureux possible dans votre vie future. Bon courage Répondre au message Message #10 #10 Posté le 5 août 2006 par croire La fille est un délencheur à régler quelque chose dans ta vie frère, c'est l'heure de faire le ménage ! La7e édition du festival Jazz et gospel d’Encausse-les-Thermes se déroule sur quatre jours du jeudi 25 au dimanche 28 août, à l’ombre du somptueux parc d’Encausse-les- MaîtreGims est comme tout le monde, il passe son temps libre avec sa femme Demdem et leurs deux enfants. Maître Gims est d'ordinaire très discret sur sa vie privée. Toujours aussi amoureux de Surinam1839} }} La femme, en tant que femme, est l’esclave à laquelle le système esclavagiste a exigé de l’amour, de la dévotion, de la loyauté, de la douceur, en plus de la soumission qu’elle devait à ses maîtres. C’était à elle que les maîtres blancs confiaient leurs enfants, leurs personnes âgées et malades, leur santé Cellequi a de l’ego. La seconde qui est la plus inquiétante est la femme dotée d’un ego démesuré. Elle cherche l’homme marié précisément parce qu’il appartient à une autre et ressent une sorte de toute puissance dans ce “vol”. Elle devient envahissante, persuadée que sa proie est folle d’elle et quittera inévitablement JX6QXZ. "Même mes parents ne m'ont jamais traitée de la sorte, ne me fais pas ça", criait la maîtresse en pleurant. Nue, elle a été mise à la porte par la femme trompée. © capture d'écran. "Ne me fais pas ça", a crié la maîtresse nue et en pleurs. L’épouse trompée n’a pas hésité une seule seconde à la mettre à la porte. Au passage, elle a pris le soin de filmer l’ensemble de la scène qui s’est déroulée à Bangkok Thaïlande. Selon le Daily Mail, qui cite des sources locales, l’épouse était rentrée à la maison plus tôt que prévu. Son regard a d’abord été attiré par la découverte de chaussures féminines suspectes chez elle. Elle avait raison. Sur le canapé, son mari était en train de prendre du bon temps avec sa maîtresse. "Ne me fais pas ça" "Même mes parents ne m’ont jamais traitée de la sorte, ne me fais pas ça", criait la maîtresse en pleurant. Nue, elle a été mise à la porte par la femme trompée. Et le mari? En toute élégance, il a tenu à rapporter en personne le sac à main de sa maîtresse, toujours en pleurs et dénudée dans le couloir. Cette vidéo a suscité une kyrielle de commentaires sur Facebook et Twitter. Divorce "Pourquoi la maîtresse doit-elle toujours payer les pots cassés? Si ça se trouve, elle ne savait peut-être pas qu’il était marié", peut-on lire sur les réseaux sociaux. Petit détail entre-temps, la femme aurait décidé de divorcer. La maîtresse, quant à elle, a décidé de porter plainte à la police. Elle est notamment blessée à l’oeil. Accéder au contenu principal Dans ce recueil de courts textes, le rédacteur de la Constitution américaine et inventeur du paratonnerre nous livre des conseils aussi loufoques qu’indispensables sur des sujets divers et variés de la vie quotidienne. Vous apprendrez ainsi comment bien choisir votre maîtresse, pourrez lire la touchante supplique de la main gauche ou vous initier avec humour au commérage, entre autres utiles fantaisies. J’avais acheté ce livre en raison de son titre racoleur et de sa très jolie édition à la mise en page soignée imprimée sur un très beau papier. Un objet de très bonne facture, comme on en trouve trop peu à des tarifs encore relativement raisonnables. C’était donc l’objet plus encore que son contenu qui m’avait attirée. Je pense d’ailleurs aller voir d’un peu plus près le catalogue des éditions finitude… Cette lecture fut un plaisir. Je connaissais peu Benjamin Franklin et j’ai appris nombre de choses très intéressantes à son sujet dans l’introduction qui lui est consacrée. Quand à ses textes, ils sont des plus savoureux ! On y trouve un humour délectable qui n’a bien souvent pas pris une ride. J’ai beaucoup aimé cette lecture divertissante qui instruit et amuse tout à la fois. Les Commérages, comme toute vertu, portent en eux-mêmes leur propre récompense en nous donnant la satisfaction de paraître meilleure que les autres, tout en constatant qu’ils ne nous sont réellement pas supérieurs. Navigation des articles Sexe sous Corona Aide-soignante la journée et escort le soir, Laura a stoppé sa première activité pour ne pas mettre en péril la vie de ses patients. Coronavirus oblige ! Désormais prostituée à plein temps, elle nous raconte ce que révèle le confinement chez ses clients. En plein confinement, je ne vais pas faire l’escort le soir et aller bosser dans le médical après. Je prends des risques pour moi, c’est pas grave, mais pour les autres c’est hors de question. » Responsable, Laura a mis de côté son activité d’aide-soignante pour faire face à l’épidémie à sa manière. Escort depuis cinq ans près de Cannes, la jeune femme de 25 ans est passée de deux clients par jour à cinq. A l’origine, elle se prostituait occasionnellement pour arrondir ses fins de mois Premier appartement, travail de caissière, c’était pas simple pour se faire plaisir, se souvient-elle. J’ai vu un reportage à la télé sur l’escorting, ils en faisaient presque de la pub ! J’ai tenté et adhéré. Faut être forte mentalement mais tu te fais de l’argent facilement.» Aujourd’hui, si elle a choisi de concentrer son activité sur la prostitution, ce n’est pas par choix. Elle loge dans un hôtel qui ne propose plus de tarif à la nuit pour limiter les va-et-vient. Résultat, elle doit payer 900 euros par mois pour une chambre, sa seule solution de logement Tant que le confinement dure, je ne peux pas m’arrêter. J’ai appelé la préfecture, la mairie et des assistantes sociales mais rien à faire. J’ai dû sortir deux loyers en quelques jours. » Un confinement qui bouleverse son quotidien mais aussi son activité. La situation inédite du pays se ressent particulièrement dans la chambre à coucher. Encore plus sur l’oreiller d’une escort, où les hommes se confessent librement. La France est confinée – tu arrives malgré tout à avoir des clients ?Laura Quand Macron a annoncé le confinement, j’ai totalement paniqué. J’en rigolais avec un pote en lui demandant si Macron allait faire quelque-chose pour les escort-girl. Pour moi, c’était fini, plus personne n’allait venir. Mais…Mais dès le lendemain, j’étais rassurée. Les hommes viennent quand même, c’est pas ça qui les bloque. Il y a peut-être un peu moins de demande mais j’ai encore suffisamment de clients. Ce matin, un ouvrier d’un chantier du coin a passé sa pose déjeuner avec moi. La seule différence depuis le début du confinement, c’est le couvre-feu interdiction de sortir entre 22h et 5h depuis le 22 mars pour certaines communes d’Alpes-Maritimes, ndlr. Plus de personne ont peut de sortir, j’ai des clients qui me demandent de passer la nuit chez moi et d’autres qui restent debout jusqu’à 5 heures du mat’ pour vite s’échapper et venir me rejoindre. Ils ont plus peur de l’amende que du virus. Ce sont surtout des habitués ?Ah non au contraire ! Je vois beaucoup plus de personnes qui viennent pour la première fois. On sent qu’ils sont débutants ils débarquent, gênés, et rapidement, ils me disent que c’est leur première fois avec une escort, ils ne savent pas trop comment faire. Avec le confinement, ils ne trouvent pas d’autres moyens pour coucher. La plupart sont jeunes d’ailleurs, beaucoup ont moins de 30 ans. Tu sens qu’ils s’ennuient et qu’ils ne savent pas quoi faire. Ils zonent sur internet, vont sur les sites et se décident à rencontrer leur première escort. A part les jeunes, tu vois d’autres profils ?Les jeunes ça me frappe parce que j’ai l’habitude d’avoir des hommes plus âgés. Mais depuis le début du confinement, ce qui saute aux yeux c’est les hommes mariés. J’ai jamais vu autant de mecs mariés, j’en ai énormément. Tout à l’heure, sur le site, un type m’a contacté pour venir me voir, son pseudo Je la supporte plus, envie de baiser ». Il m’expliquait être enfermé avec sa femme depuis une semaine, il n’en pouvait plus. Le type était à bout ! Donc pour toi, ils ne seraient pas venus si nous n’étions pas dans une période si exceptionnelle… Non clairement pas. Je ressens vraiment le côté exceptionnel de la situation, les gens reconsidèrent leur quotidien. Un homme marié ne peut plus aller voir sa maitresse et n’a plus le bureau pour s’aérer l’esprit. Il se retrouve enfermé avec une femme qu’il ne désire plus et des enfants qu’il supporte difficilement. La réciproque peut-être vraie. Chacun prend le temps de se questionner sur sa vie, son job, son quotidien et ses désirs. Sur ses désirs ?L’ennui permet de faire le point, d’explorer. Dès la première semaine de confinement, j’ai reçu une femme, chose qui ne m’arrive jamais. Je ne suis pas lesbienne mais pour moi c’est plus tranquille donc tout bénef’. Elle était mariée, 48 ans, sans aucune expérience avec les femmes. Elle a profité de cette période pour assouvir un désir de longue date. Le climat en France est assez anxiogène. Est-ce que ça créé d’autres envies, des demandes particulières chez tes clients ?Les plus âgées me demandent parfois de faire un strip tease pendant qu’ils se caressent pour éviter les contacts. Hier, j’en ai reçu un en porte-jarretelles et pareil, il s’est touché en me regardant mais il portait un masque. C’est un peu étrange mais bon… A part ça, aucune nouvelle pratique. Pas d’exutoire ni de rapports plus passionnés, ça reste très routinier. En terme d’hygiène, tu remarques une attention particulière chez tes clients ? Pas du tout dans l’ensemble, les mecs arrivent, ne se lavent pas forcément les mains. Ils s’en foutent ! Je propose toujours ma salle de bain, s’ils veulent se rafraichir et prendre une douche. Très peu le font, la plupart repartent sans se poser de question. Et toi, tu adaptes tes prestations pour limiter les risques ?De base, l’hygiène est ultra importante dans mon métier. Je me lavais déjà avant et après chaque rapport, donc ça change pas grand chose pour moi. Au lit, même avant l’épidémie je n’embrassais pas, sauf en cas de bon feeling. Là, j’embrasse pas du tout mais pour le reste… tout est permis. Je ne pense pas limiter les dégâts en arrêtant certaines positions. Je sais que je prends des risques mais faut bien que je gagne ma vie donc je le fais à fond. T’es du genre à discuter avec tes clients ?Carrément ! Je suis pas dans l’abatage, à enchainer les clients toute la journée en regardant ma montre. Pour certains, une heure c’est une heure. Mais quand ça se passe bien, je ne suis pas à la minute, ça m’arrive même de prendre des verres après. Vous parlez du Coronavirus ? Ah oui ils m’en parlent. Je les entends se plaindre les flics sont partout, c’est impossible de sortir, les rues sont vides, ils s’ennuient à mourir chez eux. Mais les mecs sont chez moi, une escorte ! Et après, ils rentrent à la maison retrouver leur femme, leurs enfants alors qu’ils savent bien que je vois du monde… Déjà de base, sans le virus, les mecs mariés qui viennent ça me dégoute… Mais là, c’est carrément dangereux pour leur famille. Parce qu’en rentrant à la maison, je ne les imagine pas dire à leur femme qu’ils reviennent de chez leur escort adorée. Tu les aides à s’échapper de chez eux ?Je leur donne des idées. Par exemple, il y a un gros supermarché à côté de chez moi donc je leur conseille de dire qu’ils vont chercher des cartouches d’encre ou des trucs qu’on ne trouve pas partout. Au final, j’en vois pas mal se déplacer sans attestation. En journée, j’ai des clients de toutes les villes du coin, jusqu’à 15-20 kilomètres. En revanche le soir, c’est quasiment que des locaux. Je sais que je prends des risques mais faut bien que je gagne ma vie, donc je le fais à fond. » J’imagine que d’autres clients respectent le confinement tout de même… Oui quelques-uns m’ont prévenu de leur absence le temps du confinement. J’ai notamment un client, et il n’est pas le seul, qui veut juste ma compagnie. Pas de sexe, on ne se voit jamais dans ma chambre. On va plutôt boire des verres, déjeuner ensemble, faire des balades. Lui je sais que je ne le reverrai pas avant la fin de cette histoire. Ton boulot parait relativement bouleversé. Tu retiens quoi de tout ça ?À part le fait que les mecs mariés me dégoutent encore plus ? Je reste une femme avant tout, voir ces pères de famille se précipiter dans mes bras parce qu’ils sont enfermés avec leur femme, ça ne donne pas envie de croire en l’amour. Au-delà de ça, je suis convaincu de vouloir arrêter. La période me montre qu’on est totalement seules pour s’assumer. J’ai quand même failli me retrouver à la rue en quelques jours… En plus, impossible d’aller voir des amies qui sont confinées ensemble, je dois satisfaire ces messieurs pour payer mon loyer. Ma famille, c’est pareil. Ils ne savent pas ce que je fais mais mon père est malade, je ne peux pas prendre le risque d’aller leur rendre visite. Je me dis que ce confinement aura eu du positif pour moi. Entre tous ces comportements et la précarité du taffe qui saute aux yeux, j’ai envie de reprendre une vie normale. Entretien & Photos Benjamin Badache Camus fut-il un homme à femmes, un don Juan à rallonge, un simple cavaleur, un collectionneur impénitent, bref un séducteur ? Dans Le premier homme, manuscrit trouvé à sa mort, Albert Camus alias Jacques Cormery part à la recherche de son père mort en 1914. C'est sur les femmes qu'il tombe. La première, c'est la grand-mère au corps massif, au visage hommasse, coiffée d'un chignon austère, autoritaire, égorgeuse de poules, dressant Albert et son frère au martinet. Puis Camus dresse l'icône de sa mère, Catherine née Sintès. Dès les premières pages, il met en scène sa propre naissance dérisoire. L'accouchement, dans le dénuement, de sa mère. Camus l'aime à la folie d'autant que cette femme sait dès le début que les jeux sont faits. Belle, un petit nez droit qu'on retrouvera plus tard chez les maîtresses de son fils. Absente au monde, elle a le regard bon et résigné. Presque sourde et illettrée, elle a la parole difficile. Drapée dans une éternelle blouse grise ou noire, elle montre un visage avenant. Camus décrit cette femme de ménage, courbée sur son baquet et ses parquets. A-t-elle ployé sous la pauvreté ? Pire, elle est née pauvre. Mektoub ! C'est écrit et depuis longtemps. Et Camus de décrire toute la famille "Oh ! Oui, c'était ainsi, la vie de cet enfant avait été ainsi dans l'île pauvre du quartier, liée par la nécessité toute nue, au milieu d'une famille infirme et ignorante...", écrit-il dans Le premier homme. On le sait, Camus force cet horizon barré et s'arrache à cette fatalité de la misère grâce à la culture. Trois rencontres seront décisives l'instituteur Louis Germain, le professeur de philosophie Jean Grenier et René Poirier, son maître de l'université d'Alger. Alors que le pupille de la nation s'ouvre au monde, il découvre la femme. C'est la splendeur de sa jeune existence, l'amour et la sensualité réunis dans cette terre algérienne. Viens voir les comédiennesLe théâtre a toujours été la grande affaire de la vie de Camus et l'occasion bénie d'approcher les femmes. Dès 1936, Camus, jeune communiste algérois, anime le Théâtre du Travail, une troupe d'amateurs engagés qui brasse intellectuels, prolétaires et jolies femmes. Peu après, il fonde le Théâtre de l'Equipe, et reprend la devise de Copeau "travail, recherche, audace". La comédienne Blanche Balain participe à l'aventure d'une troupe polarisée autour de ce jeune homme, tuberculeux mais infatigable. Camus honore ses amitiés féminines. Jeanne Sicard et Marguerite Dobrenn n'hésitent pas à monter sur la rencontre historique, c'est Maria Casarès, invitée le 19 mars 1944 chez Michel Leiris. Comédienne de génie, fille du ministre de la Guerre républicain, exilée en France en 1936, elle est vite encensée comme "nouvelle Réjane4" par la critique. La voix rauque et le théâtre dans la peau. Bref, c'est une comédienne exceptionnelle. Quand on a écrit Révolte dans les Asturies, comment résister à cette volcanique incarnation hispanique ? Ce couple célèbre a ses entrées dans le Saint-Germain sous l'Occupation. Entre une virée dans une boîte de nuit et des répétitions acharnées de la pièce de Camus Le malentendu, ils ne se quittent plus, au grand désespoir de Francine, son épouse. Le soir du 5 juin 1944, ils sortent de chez Dullin en vélo, un brin éméchés, elle sur le guidon, la veille même du Débarquement. Vient le temps long de la séparation. Mais, en juin 1948, sur le boulevard Saint-Germain, Camus croise Maria devenue vedette. Elle plaque derechef l'acteur Jean Servais, et Camus continue sa double vie. Elle s'illustre dans le répertoire camusien jusqu'à la mort de l'auteur. En 1956, il repère une petite jeune femme, comédienne gracile et cultivée, Catherine Sellers, dans La mouette de Tchekhov. Il la fait jouer dans Requiem pour une nonne, pièce adaptée du roman de Faulkner. Dans ses Carnets, Camus note, vaincu "Pour la première fois depuis longtemps, touché au coeur par une femme, sans nul désir, ni intention, ni jeu, l'aimant pour elle, non sans tristesse." Pour la première fois, il ne joue pas au roublard amoureux. La première rencontre, c'est Simone Hié. Racée, de bonne famille, starlette algéroise au fume-cigarette provocateur, fiancée du poète Max-Pol Fouchet. Camus lui fauche S., pour les intimes. Elle deviendra, vite, dépendante aux paradis artificiels morphine et héroïne. Très belle, elle n'échappe pas à l'autodestruction. Camus l'épouse le 16 juin 1934 et lui consacre, l'année suivante, Le livre de Mélusine. Un conte qui n'augure rien de bon. Camus se sépare de Simone qui le trompe avec un médecin. En 1937, il rencontre une autre femme fatale, Christiane Galindo. Belle évidemment, brune et bronzée, fille d'institutrice, elle se met, sans rechigner, à sa Remington pour taper les premiers manuscrits de son amant. Elle traversera toute la vie d'Albert Camus. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Liaisons croisées et intrigues multiplesCamus cultive aussi l'amitié féminine. Il ne néglige ni Jeanne Sicard ni Marguerite Dobrenn, bonnes camarades du Parti, comédiennes, confidentes. Mais il n'échappera jamais au jeu dangereux de la double vie, des liaisons croisées, des intrigues multiples pas plus qu'il ne se résoudra à la séparation franche. Dans La chute, l'avocat Jean-Baptiste Clamence déclare sans vergogne "Je maintenais toutes mes affections autour de moi pour m'en servir quand je le voulais. Je ne pouvais donc vivre, de mon aveu même, qu'à la condition que, sur toute la terre, tous les êtres, ou le plus grand nombre possible, fussent tournés vers moi, éternellement vacants, privés de vie indépendante [...]." Une espèce d'"héliocentrisme" amoureux assez ressemblant à l'écrivain. Peut-être Camus se dédommageait-il avec ses charmantes partenaires de l'amour exténuant voué à sa mère, de cet hymne filial constant à la pauvreté et au silence ? Bientôt, il rencontre celle qui va devenir son épouse et la mère des jumeaux, Catherine et Jean. La perfection est de ce monde. C'est Francine Faure, excellente pianiste, inimitable dans Bach, et mathématicienne. Joli minois avec de hautes pommettes tatares, elle est ravissante. Pleine de retenue, peu grivoise, elle sait se faire désirer de ses amoureux. Elle frappe au coeur le jeune Camus. Après de longues tergiversations, Albert épouse civilement Francine Faure, le 3 décembre 1940 à Lyon, en zone libre à Paris-Soir où il travaille comme secrétaire de rédaction. Il perd vite son emploi et Francine regagne l'Algérie. Dans Paris occupé, Camus rencontre "l'Unique", la comédienne Maria Casarès voir encadré. Ils sont faits l'un pour l'autre. Lorsque Francine rejoint Paris, elle devra subir cette liaison publique qui inaugurera une longue série. Elle sombre dans une profonde dépression qu'Albert se reproche. Manque d'esprit de sérieux, égoïsme, et tutti quanti. On envisage une psychanalyse, mais Francine subira vingt-trois électrochocs. Après une consultation chez un spécialiste, Camus écrit, libéré "Selon lui la nécessité où je suis d'épargner la santé de Francine me fait vivre "dans une boule de verre". Son ordonnance liberté et égoïsme. Superbe ordonnance, dis-je. Et de loin la plus facile à vivre1." En 1946, Camus débarque aux Etats-Unis. Les jeunes étudiantes sont émoustillées et son guide se nomme Patricia Blake. Ravissante et accorte, elle fait oublier à l'écrivain adulé la vieillesse qui s'annonce. Camus a trente-trois ans ! En 1958, devenu "vieux" pour de bon, il rencontre Mi, mannequin chez Jacques Fath. Il l'installe dans une maison proche de la sienne à Lourmarin. Lorsqu'il part "faire une promenade", toute la famille sait où il va. Dans un carnet préliminaire au Premier homme, le romancier tient ses comptes. L'année de sa mort, il a quatre femmes dans sa vie Francine, Maria, Catherine voir encadré et Mi, sa dernière maîtresse en titre. N'oublions pas sa fille Catherine Camus, l'autre femme de sa vie. Née en 1945, elle s'est engagée avec un grand courage à gérer l'oeuvre de son père. Elle a renoncé à son métier d'avocate. "Quand on s'appelle Camus, dit-elle, on ne devrait pas parler d'ayants droit, mais d'ayants devoir2 ." En 1994, elle sort de sa réserve et publie Le premier homme, le manuscrit retrouvé dans le coffre de la Facel Vega voir page 46, sans la moindre correction. Une décision courageuse. De son père, elle a hérité le sens de l'absurde. Elle a prêté son serment d'avocate le jour où sa mère est entrée à l'hôpital pour y mourir peu après. Et toutes ces femmes ? "Il était libre, et c'était des femmes bien3." Les plus lus OpinionsLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique Dans la nuit du 9 au 10 octobre 1683, un étrange ballet s’opère dans la chapelle du Château de Versailles. Le Roi Louis XIV et Madame de Maintenon célèbrent leur mariage dans le plus grand des secrets. Quelle revanche sur la vie pour cette fille de voyou, devenue gouvernante des enfants du Roi puis son épouse. Mme de Maintenon, longtemps restée dans l’ombre, est devenue une figure aussi mystérieuse que célèbre. Revenons ensemble sur la vie hors du commun de Françoise d’Aubigné, Madame de Maintenon, dernière épouse de Louis XIV. L’enfance troublée de Françoise d’Aubigné, future Madame de Maintenon Françoise d’Aubigné, fille et petite-fille de brigands Françoise d’Aubigné voit le jour derrière les barreaux de la prison de Niort. C’est la fille de Constant d’Aubigné et la petite-fille d’Agrippa d’Aubigné. Ce dernier, poète et célèbre figure des guerres de religion, est renommé pour sa personnalité rebelle. Son fils, Constant d’Aubigné, est de la même trempe. Cette personnalité débauchée passe une grande partie de sa vie derrière les barreaux. C’est d’ailleurs en prison qu’il rencontre sa future femme. Emprisonné au Château Trompette à Bordeaux, il séduit une belle jeune femme, Jeanne de Cardhilhac, qui n’est autre que la fille du Gouverneur. Comme il l’a prise, le Gouverneur exige de Constant qu’il épouse sa fille. A la suite à ce mariage, Jeanne donne rapidement naissance un fils. S’en suit la naissance d’une fille, Françoise d’Aubigné, qui voit le jour le 27 novembre 1635. Jeanne, plus soucieuse de suivre son époux de prison en prison que d’éduquer ses enfants, confie sa fille à une tante. Madame de Villette, de religion protestante, élève Françoise dans la doctrine calviniste. Françoise restera plusieurs dans un château provincial. En 1645 le père de Françoise d’Aubigné, devenu gouverneur d’une des Antilles, emmène toute sa famille en Martinique. Les affaires sont florissantes, il acquiert alors une très grande fortune. Mais chassez le naturel, il revient vite au galop. Constant d’Aubigné perd toute sa fortune dans les jeux d’argent, laissant sa famille sans aucune ressource. Son épouse Jeanne revient en France avec ses enfants, et confie une nouvelle fois sa fille Françoise à Madame de Villette. Madame de Neuillant, sa marraine, ne supporte pas de voir sa filleule laissée de côté dans un petit château provincial. Elle obtient l’autorisation directement de la Reine-Mère Anne d’Autriche pour élever l’enfant. La vie avec sa marraine n’est pour autant pas celle escomptée. Mme de Maintenon dira de cette période Chez Mme de Neuillant, je n’avais que des sabots et gardais les dindons Entre spiritualité et haute société Lorsque Françoise d’Aubigné atteint sa quinzième année, sa mère Jeanne, en bonne catholique, décide de la mettre au couvent. Elle est accueillie gracieusement chez les Ursulines du Faubourg Saint Jacques. C’est à cette période que la future Madame de Maintenon développera son goût pour la spiritualité et la religion. Sa marraine, fière de l’évolution de sa filleule, l’emmène à Paris de salon en salon, à la rencontre d’intellectuels et poètes. Françoise d’Aubigné fait une entrée timide dans la haute société. Elle découvre un monde qu’elle ne soupçonnait pas, et dans lequel elle se plaît à évoluer. Elle fait la rencontre de femmes et d’hommes intellectuels. On peut notamment citer Ninon de Lenclos, femme de lettres et d’esprit. Une amitié naît entre les deux femmes. Pour la petite anecdote, cette amitié est mise à mal à cause de Louis de Mornay, Marquis de Villarceaux. Entretenant alors une relation avec Ninon de Lenclos, le propriétaire du Domaine de Villarceaux jette son dévolu sur Françoise d’Aubigné, alors âgée de 16 ans. Aucune source n’atteste si Françoise a cédé à ce grand séducteur. On peut tout de même trouver un tableau de l’adolescente dans le Château du Domaine de Villarceaux. Peint par Louis de Mornay lui-même, ce tableau représente la future épouse de Louis XIV en tenue très légère. Un portrait de Mme de Maintenon que l’on n’a pas l’habitude de voir. Françoise d’Aubigné devient Madame Scarron Âgée de 17 ans, Françoise d’Aubigné a l’opportunité de choisir entre le mariage ou entrer dans les ordres. Ambitieuse, ayant pris goût aux salons, il n’est pas question pour la future Madame de Maintenon de vivre recluse. Elle choisit le mariage. Le chanceux n’est autre que Paul Scarron, de 22 ans son aîné. Fils et petit-fils de Conseiller au Parlement, cousin de la Maréchal d’Aumont et neveu d’évêque, Paul Scarron fait partie de la société élégante. Vif d’esprit, Paul Scarron compense son état de santé. L’auteur dramatique a perdu l’usage de ses jambes et se déplace toute la journée en fauteuil roulant. Poète burlesque, romancier et savant, il reçoit à deux pas de son hôtel l’hôtel de l’impécuniosité », la haute société qui aime l’écouter. Devenue Madame Scarron, Françoise est une femme ambitieuse, pourvue de solides atouts indispensables pour se faire accepter. Elle est belle, joyeuse, pleine d’esprit et vertueuse. Elle avait de la grâce et de bonnes manières, de la dignité. La nouvelle Madame Scarron s’intègre très rapidement à cette société et se constitue un cercle intime. 8 ans après leur mariage, Paul Scarron décède et laisse son épouse de 25 ans sans héritage. Françoise d’Aubigné peut alors compter sur son cercle intime pour continuer à vivre dignement. La Veuve Scarron continue de fréquenter les salons. Madame de Sévigné se prend d’amitié pour elle et apprécie son esprit merveilleusement droit ». Paul Scarron d’après_Lix De la veuve Scarron à gouvernante des enfants illégitimes de Louis XIV La rencontre avec la Marquise de Montespan Un de ses salons favoris, l’Hôtel l’Albret, où les Montespan se rendaient régulièrement. La Marquise de Montespan, grande favorite du Roi Louis XIV, se prend d’amitié pour elle. A telle point qu’elle souhaite la nommer gouvernante des bâtards qu’elle a eu avec Louis XIV. Cette femme pieuse et d’esprit fascine Athénaïs de Montespan. Mais comme l’évoque Madame de Sévigné, la dernière épouse de Louis XIV veut bien être au père, mais non à la mère ». Madame de Maintenon ne souhaite pas élever les enfants de Madame de Montespan, mais ceux du Roi de France. Elle exige donc que la demande vienne de Louis XIV, et non pas de la maîtresse du Roi. Cette exigence est une grande source de conflit entre les deux femmes. Madame de Montespan aime à ordonner, ce qui n’est pas du goût de Françoise. C’est ici que les destins de la future Madame de Maintenon et Louis XIV se croisent. Mais les débuts ne sont pas au beau fixe entre eux. Louis XIV ne l’apprécie guère. Mme de Maintenon dira Le Roi ne me goûtait pas et d’abord, il eut assez longtemps de l’éloignement pour moi ; il me craignait sur le pied de bel esprit, s’imaginant que j’étais une personne difficile qui n’aimait que les choses sublimes Madame de Maintenon et les enfants illégitimes de Mme de Montespan et Louis XIV Par antoine capeil collection privee ©FineArtImages / Leemage Françoise d’Aubigné évolue dans la haute société Ses débuts en tant que gouvernante se font en toute discrétion, loin des regards de la Cour. Son ambition de s’élever dans la société et son enfance malheureuse, poussent Françoise Scarron à s’impliquer dans l’éducation des enfants du Roi dont elle a la charge. Ce qui l’amène à être fort bien récompensée pour son travail. La veuve Scarron possède dorénavant des chevaux, un carrosse, et tout ce qu’il faut pour son habillement. Son statut au sein de la société évolue lorsque les enfants de la Montespan sont légitimés par Louis XIV. Françoise d’Aubigné est maintenant admise à Saint Germain en Laye, au sein de la Cour. Elle est traitée avec distinction et recevra 250 000 livres de la part du Roi pour ses bons services. Avec cette somme, elle fait l’acquisition de la terre de Maintenon, et en prendre le titre. Le Château de Maintenon permet à la veuve Scarron de s’élever socialement, dans cette France de l’Ancien Régime. En février 1675, Françoise d’Aubigné est officiellement et publiquement nommée Madame de Maintenon » par le Roi Louis XIV. La fille de brigand devient Marquise de Maintenon. © La Veuve Scarron devient Marquise, Madame de Maintenon C’est au même moment que Louis XIV découvre l’esprit agréable de Madame de Maintenon. La répulsion des débuts laisse place à une attraction. Cette attirance du Roi est sans doute attisée du fait que la Marquise lui résiste. Les colères à répétition de sa favorite, la Marquise de Montespan, le pousse à se rapprocher de Madame de Maintenon, sa future épouse. Il aime passer des moments avec Françoise. Mme de Maintenon rassure, apaise, conseille. Au côté de Madame de Maintenon, Louis XIV se découvre en tant qu’homme. La rupture avec Athénaïs de Montespan est inévitable. En 1680, la Montespan perd officiellement son titre de Favorite de Louis XIV. Quant à Madame de Maintenon, elle reçoit la nouvelle charge de seconde dame d’atour » de la Dauphine, elle intègre ainsi la Cour de France. Son rang s’élève encore un peu plus dans la société. Même si l’attraction est évidente entre les deux amants, Madame de Maintenon pousse son Souverain à se réconcilier avec Marie-Thérèse d’Autriche, épouse de Louis XIV. Pendant 3 ans, le Roi-Soleil est plein d’attentions épouse son épouse, qui vit les plus belles années de sa vie. Mais elle décède subitement en juillet 1683. Après la perte de sa femme, un cas de conscience s’impose à Louis XIV. Il n’a que 45 ans, il est tout à fait en âge de se marier à nouveau. Va-t-il prendre des maîtresses et favorites jusqu’à la fin de sa vie ? Cette décision n’est pas des plus judicieuses pour le pays, et il le sait. Madame de Maintenon, une confidente devenue femme de Louis XIV Après mûre réflexion, Louis XIV est bien décidé. Il souhaite prendre comme seconde épouse la femme qui a su se montrer généreuse et bienveillante avec lui Madame de Maintenon. La Marquise écrit à l’Abbé Gobelin en septembre 1683 Ne m’oubliez pas devant Dieu, car j’ai grand besoin de force pour faire un bon usage de mon bonheurMadame de Maintenon à l’Abbé Gobelin – septembre 1683 A 48 ans, Madame de Maintenon devient officiellement la seconde épouse de Louis XIV. C’est véritablement un mariage d’amour. C’est la première fois qu’un Roi de France se marie par amour, et non pas pour la politique ou la stratégie. Toutefois, Madame de Maintenon n’étant pas de sang royal, elle ne peut être reine. Un mariage nocturne dans le plus grand des secrets Les noces ont lieu dans la Chapelle du Château de Versailles, dans la nuit du 9 au 10 octobre 1683. C’est un mariage des plus secrets, loin des regards indiscrets, qui a lieu. Seuls 4 témoins nécessaires assistent à l’union secrète. Des questions se posent alors Pourquoi ce mariage a lieu pendant la nuit ? Il était de coutume de se fiancer avant de se marier. Au moment de leurs épousailles, Louis XIV et Madame de Maintenon ne sont pas fiancés. Il est fort probable qu’ils se soient donc fiancés le 09 peu avant minuit, pour se marier le 10 un peu après minuit. Pourquoi le faire si secrètement ? Il était difficile pour Louis XIV d’annoncer son mariage avec une femme de petite noblesse. Même si Madame de Maintenon a gravi les échelons de la société pour s’élever au rang de Marquise, il ne faut pas oublier ses origines. Il deviendrait la risée de toute l’Europe. Ce mariage est donc resté secret. Aucune annonce officielle n’a jamais été faite. Chromotypographie de Maurice Leloir, dans Le Roy Soleil » de Gustave Toudouze, 1904. Quelle est l’influence de Mme de Maintenon sur le règne de Louis XIV ? A Versailles, le statut de la dernière épouse de Louis XIV change du tout au tout. Madame de Maintenon dispose d’un appartement donnant sur la cour royale du Château de Versailles. Son époux lui rend visite tous les jours pour s’offrir des moments de calme ou pour y travailler. La femme de Louis XIV n’a pas grande influence sur les décisions politiques du Roi et les affaires d’Etat. Elle prodiguait régulièrement des conseils et donnait sans hésiter son avis, mais celui-ci est rarement suivi par sa Majesté. Par contre, son influence dans la vie personnelle du Roi est bien présente. Louis XIV fait souvent appel à sa femme pour les remontrances auprès de ses enfants. Il ne faut pas oublier qu’elle a été la gouvernante de la plupart d’entre eux. Louis XIV appelle Madame de Maintenon, sa dernière épouse, Ma Solidité ». Cela reflète bien la position de Françoise d’Aubigné dans la vie du Souverain. On retrouve également son influence dans l’une des plus grandes créations du Roi-Soleil la maison royale d’éducation de Saint-Louis à Saint-Cyr. Implantée dans le grand parc de Versailles, cette maison accueille des jeunes filles entre sept et dix ans, filles d’officiers décédés ou ayant ruiné leur santé ou leur fortune au service de l’Etat. Jusqu’à leur vingt ans, théâtre, enseignement général et musique leur sont transmis. Plus de 3 100 jeunes filles sont éduquées dans la maison royale de Saint Cyr par Madame de Maintenon, seconde épouse du Roi Louis XIV. Perspective de la Royal maison de St Cyr du diocèze de Chartres », 1780 Madame de Maintenon recevant Louis XIV Gravure extraite de Madame de Maintenon et la maison royale de Saint-Cyr 1686-1793, par Théophile Lavallée, éditions H. Plon, Paris, 1862 Madame de Maintenon et Louis XIV, jusqu’à ce que la mort les sépare Après 32 ans de mariage Louis XIV, le Roi-Soleil, décède. A la mort de son époux le Roi bien-aimé, Madame de Maintenon se retire dans la maison royale de Saint Cyr. Elle y restera jusqu’à sa mort en 1719, à l’âge de 84 ans. Soucieuse de l’étiquette, Madame de Maintenon fait disparaître avant sa mort toutes les preuves de son mariage. Elle lègue son bien le plus précieux, le Château de Maintenon, à sa nièce Françoise Amable d’Aubigné. Le Château de Maintenon est entre de bonnes dernière épouse de Louis XIV sera tout d’abord inhumée dans l’allée de la Chapelle de la Maison Royale de Saint-Louis. Son corps trouve le repos pendant 75 ans. A partir de 1794, sa sépulture sera régulièrement exhumée, meurtrie et même parfois abandonnée. Madame de Maintenon ne trouvera le repos qu’en 1969 devant l’autel de la chapelle restauré de Saint-Cyr. Sources – Louis XIV de Pierre Gaxotte – Editions Famot – Site web du château de Versailles

choisir entre sa femme et sa maitresse